Événement | CES 2017

24 juillet 2018

Le CES 2017, qui s’est tenu du 9 au 12 janvier 2017 à Las Vegas a poussé Julien BROUE et Florian GRANDVALLET, fondateurs d’Easy Partner, à dénicher les dernières tendances technologiques et rencontrer les acteurs qui façonnent la Silicon Valley.

La réalité virtuelle et l’IoT pour tous

La VR, Virtual Reality ou réalité virtuelle, a été incontestablement la star du CES 2017, c’est évident. De nombreux acteurs se positionnent sur cette technologie notamment pour les jeux vidéo et les films. Sa démocratisation au grand public laisse une trace pour l’avenir du digital tant les possibilités en termes de développement et d’écosystème sont très larges.

L’Internet des Objets, communément appelé IoT, est aussi la seconde grande tendance digitale qui se démocratise auprès du public avec des applications spécifiques à chaque utilisation : santé, cuisine, sport, bien-être, tout y passe. Réservée d’abord à des personnes à fort pouvoir d’achat, cette technologie s’ouvre de plus en plus avec les avantages que l’on connaît. A titre d’exemple, Alexa, l’intelligence artificielle développée par Amazon, observe, analyse et anticipe les achats de provisions dans votre frigo.

Toutefois, un hardware couplé à un software implique alors une utilisation par périphérique…4 bracelets pour 4 utilisations ? A creuser donc. Par ailleurs, on peut également se questionner sur l’écosystème applicatif de l’IoT : façon Apple où le système est fermé mais qui du coup interagit parfaitement entre les différents périphériques ou façon Open source avec un noyau Linux embarqué ? L’option libre est sérieusement envisagée par les acteurs de cet écosystème. Idem dans le domaine de la robotique, toujours plus présente auprès des professionnels avec de nombreux softwares développés. Le grand public devra attendre encore un peu.

Tout se connecte, de plus en plus, avec les problématiques des bandes passantes saturées et la sécurisation des données que l’on doit anticiper. Un autre exemple est celui de la voiture connectée. On le sait, entre Android Auto et Apple Car, le mode de vie connecté se prolonge même dans nos véhicules. Cependant, une technologie qui nous a marqué et cette puce intégrée dans les prochains véhicules permettant d’évaluer la conduite d’un automobiliste et l’accompagner pour une conduite plus verte. Un projet prometteur en partenariat avec la Ville de Paris dont le but, à terme, est de permettre aux conducteurs les plus « éco responsables » d’emprunter les voies de bus, pratique pendant les bouchons.

Notre présence a été très appréciée par les nombreuses start-ups en quête de talents sur le marché français, d’ailleurs très peu de recruteurs ont été présents lors du salon. Notre approche de recrutement est adéquate à leurs attentes tant en termes de connaissances technologiques que les services que l’on propose à nos clients et candidats.

La Silicon Valley, une source d’inspiration pour le recrutement digital

Après le CES 2017, nous sommes retournés à San Francisco afin de comprendre le fonctionnement du marché américain et du recrutement spécifique à la Silicon Valley. Aussi, nous avons rencontré les futures pépites de demain en prenant le pouls des innovations et cela, dans le même but depuis la création d’Easy Partner : proposer les plus gros acteurs du digital à nos candidats.

Le marché du recrutement digital dans la Silicon Valley est encore plus tendu qu’en France, il y a une véritable fracture entre les recruteurs et développeurs. C’est pourquoi ces derniers ne sont pas du tout en recherche mais sont toutefois à l’écoute uniquement via leur réseau. En effet, le réseau est le cœur même de leur mode de fonctionnement et c’est pourquoi un recruteur va accompagner son candidat sur le long terme, une véritable implication se développe des deux côtés. Une approche façon 2.0 donc que l’on applique déjà chez Easy Partner.

Le process de recrutement est bien différent à la Silicon Valley par rapport à la France : l’humain y est vraiment central. Un brin provocateur en disant cela mais c’est bien là une réalité à laquelle nous étions confrontés. En détails, le candidat développeur passe une journée à rencontrer l’équipe afin de lui faire vivre une totale immersion dans l’entreprise. En parallèle, il passe un entretien technique et psychologique pour vérifier si sa personnalité colle avec la culture fit de l’entreprise.

Malgré le salaire moyen d’un développeur junior qui tourne autour de 100 000 $ par an, les nombreux avantages et la dotation de stock option, les développeurs de la Silicon Valley subissent une grosse pression. Ça aussi, c’est une réalité qu’il faut accepter.

Enfin, nous pouvons dire que ce séjour digital nous a inspiré pour la suite, les rencontres avec des CTO, écoles, cabinets de recrutements et influenceurs nous poussent à toujours innover, de la même manière que Dropbox, Dockers et Linkedin…que nous avons rencontré également.

L'auteur Julien Broue

Co-Founder

Julien Broue
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